LA RELATIVITÉ UNIFIÉE, LES PARTICULES
La vitesse de la lumière montre que les flux d'espace-temps transportant le photon parcourent 300000 mètres en une seconde.
L'espace fonctionnant en 3 dimensions, il s'agit de 300000 mètres-cubes de ces flux d'espace-temps en une seconde pour nous.
Notre seconde en question correspondant à 1 mètre-cube d'atomes (horloge atomique), nous pouvons constater l'énorme différence de volumes entre notre espace-temps gluant d'êtres massifs et les flux d'espace-temps gazeux et explosifs qui transportent le photon.
L'espace-temps de l'échelle des particules souffle à travers notre espace-temps d'êtres massifs comme un vent souffle à travers un tissu.
Ce qui nous met dans un rapport relatif de 3,5 jours en une seconde pour nous.
Nous montrons que les données sur les particules viennent de cet énorme décalage dans la vitesse de passage du temps.
Quand nous voulons localiser une particule dans l'espace, par exemple, les 3 jours et demie qu'il se passe pour elle en une seconde pour nous nous fait voir la particules en plusieurs points de l'espace: c'est la Superposition.
Il faut donc raccourcir la durée de notre coup d'œil sur la particule pour qu'elle ait moins de temps de bouger dans son espace-temps propre.
À une centième de seconde pour nous, la particule a toujours 50 minutes dans son espace-temps propre.
Nous devons donc réduire la durée de notre coup d'œil sur elle jusqu'à 1/300000 de seconde pour surprendre la particule en une seconde de son espace-temps propre.
Nous pouvons enfin la localiser en un point précis de l'espace parce qu'il ne se passe qu'une seconde pour elle lors d'un coup d'œil aussi bref.
Mais la durée de notre coup d'œil sur la particule est devenue trop brève pour qu'elle ait le temps de bouger devant nos yeux.
La particule est forcément vue à l'arrêt par un observateur qui la regarde pendant une si courte durée. Elle n'a pas eu le temps de bouger devant les yeux de cet observateur.
Nous retrouvons d'ailleurs cette donnée sur le plan visuel:
quand des raies de lumières sont vues dans une durée extrêmement brève par un objectif, les photons sont vus à l'arrêt, comme des blocs solides.
Leur alignement en petits blocs solides leur permet donc de former des motifs géométriques très précis.
Ces formes disparaissent dès que la durée d'observation s'allonge parce que les photons ont alors le temps de bouger devant l'objectif qui les observe... ils retrouvent leur comportement ondulatoire.
Les données sur les particules sont donc telles qu'elles sont à nos yeux parce que le temps se passe 300000 fois plus vite pour ces objets que pour nous.
C'est le rapport relatif de type 1.
Les données classiques sont des objets pours lesquels le temps se passe à la même vitesse que pour nous.
C'est le rapport relatif de type 2.
Les trous noirs et les galaxies super massives sont des objets pour lesquels le temps se passe plus lentement que pour nous.
C'est le rapport relatif de type 3.
Nous avons ainsi un modèle unique (Théorie du Tout) qui nous permet enfin de ranger toutes les données scientifiques sous un seul principe de compréhension.
Le critère unique et universel qui permet de classer les données les unes par rapport aux autres est le rapport relatif.